Calendrier de la saison

juillet 2022

  • 17 : Almada (PT) - Hands Do Not Touch Your Precious Me
  • 18 : Almada (PT) - Hands Do Not Touch Your Precious Me

octobre 2022

  • 15 : Amsterdam (NL) - Hands Do Not Touch Your Precious Me
  • 16 : Amsterdam (NL) - Hands Do Not Touch Your Precious Me

décembre 2022

  • 02 : Anvers (BE) - Hands Do Not Touch Your Precious Me
  • 03 : Anvers (BE) - Hands Do Not Touch Your Precious Me
  • 04 : Anvers (BE) - Hands Do Not Touch Your Precious Me
  • 21 : Courtrai (BE) - Hands Do Not Touch Your Precious Me

janvier 2023

  • 28 : Ancône (IT) - Hands Do Not Touch Your Precious Me
  • 29 : Ancône (IT) - Hands Do Not Touch Your Precious Me

avril 2023

  • 14 : Ljubljana (SI) - Hands Do Not Touch Your Precious Me

août 2023

  • 26 : Leiria (PT) - Hands Do Not Touch Your Precious Me

Hands Do Not Touch Your Precious Me

Chorégraphie et mise en scène : Wim Vandekeybus
Création artistique avec l’argile : Olivier de Sagazan
Musique : Charo Calvo
Créé en 2020
Durée : 90 min

Avec Hands Do Not Touch Your Precious Me, Wim Vandekeybus crée un récit mythologique de confrontation et de transformation, de lumière et d’ombre, de mort et de renaissance. Il collabore pour ce projet avec la compositrice Charo Calvo, huit danseurs et – pour la première fois – avec le performeur et plasticien Olivier de Sagazan. Ensemble, ils mettent sur pied un univers où les corps, en tant que sculptures vivantes, de chair, se balancent entre l’utopique et l’horrible, entre le puissant et le fragile.
Les spectacles de Wim Vandekeybus comme les performances d’Olivier de Sagazan explorent, chacun à leur manière, la frontière entre le « corps » et l’« humain ». Vandekeybus a développé son langage chorégraphique sur la base des réactions impulsives et instinctives qui naissent de la confrontation avec des situations de risque physique et de danger. Le cœur de l’œuvre d’Olivier de Sagazan est la transfiguration du corps et du visage, à l’aide d’argile et de peinture, en un amas de chair anonyme. L’exploration des limites humaines menée par Vandekeybus et de Sagazan reçoivent un écho musical dans la texture matérielle et physique du paysage électroacoustique de Charo Calvo.

La presse en parle

 « Grâce à cette performance, Wim Vandekeybus nous fait découvrir un mythe millénaire. Il ne nous l’impose pas, mais nous montre, avec quelques kilos d’argile, un fabuleux paysage sonore et sept danseurs talentueux qui se meuvent presque plus vite que la lumière, comment chaque être humain et chaque peuple, à l’instar d’Inanna, luttent constamment afin de devenir une version différente et de préférence meilleure de lui-même. »

Els Van Steenberghe, Knack

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