Calendrier de la saison

avril 2025

  • 30 : Pamplune (ES) - Dreamers #2

mai 2025

  • 09 : Oldenburg (DE) - Dreamers #2
  • 10 : Oldenburg (DE) - Dreamers #2
  • 11 : Oldenburg (DE) - Dreamers #2

mars 2026

Dreamers #2

Chorégraphies Iratxe Ansa et Igor Bacovich, Crystal Pite, Diego Tortelli

Pour 16 danseurs

Rhapsody in Blue

Chorégraphie Iratxe Ansa et Igor Bacovich
Musique George Gershwin, Bessie Jones
Décors et costumes Fabio Cherstich
Lumières Eric Soyer

Créé en février 2024 – Durée 25 min

Rhapsody in Blue puise son inspiration dans le chef-d’œuvre de Gershwin ainsi que dans les rencontres et expériences des chorégraphes. La pièce sépare l’œuvre originale de son contexte new-yorkais et de son époque, pour lui donner une dimension plus universelle, à travers une approche poétique du mouvement et de la scène.

La presse en parle

« Le style d’Ansa et Bacovich [est] fluide et plastique, hautement musical, avec des pointes de virtuosité athlétique. Séduisant dans les mouvements ondulatoires de l’ensemble, qui s’ouvre de temps à autre sur des portraits éblouissants de danseurs solistes. »

Valentina Bonelli, Vogue Italia

Solo Echo

Chorégraphie Crystal Pite
Musique Johannes Brahms
Décor Jay Gower Taylor
Costumes Crystal Pite & Joke Visser
Lumières Tom Visser
Mise en scène Eric Beauchesne

Reprise pour Aterballetto en février 2025 – Durée 20 min

Inspirée du poème «Lines for Winter» de Mark Strand, Solo Echo associe deux sonates pour violoncelle et piano de Johannes Brahmes, la saison hivernale, et le mouvement du corps pour explorer les thèmes de l’amour, de l’acceptation et de la perte.

Glory Hall

Chorégraphie Diego Tortelli
Musique Godspeed You ! Black Emperor ; Oneohtrix Point Never
Costumes Sportmax
Éclairages Matthias Singer
Assistant chorégraphe Hélias Tur-Dorvault

Créé en 2025 – Durée 30min

Glory Hall, la nouvelle création de Diego Tortelli pour les 16 danseurs d’Aterballetto, est un voyage sensoriel et rebelle dans un espace intermédiaire, suspendu entre la lumière et l’obscurité. Située dans un espace noir mais jamais véritablement sombre, la chorégraphie se déploie comme un rite extatique où sensualité et spiritualité profane s’entrelacent. La danse, défiant la narration, laisse des émotions fugaces exploser. Dans Glory Hall, tout est possible : la musique s’élève dans un crescendo d’harmonie et de transgression, pour une extase sans limites, mêlant sonorités rock et mélodies symphoniques.

La presse en parle

« Les danseurs de la compagnie de Reggio Emilia confirment leur polyvalence et leurs compétences en matière de technique et d’interprétation. Et comme à chaque fois, le spectateur reste impressionné, non seulement par la qualité de leur gestuelle, mais aussi par leur alchimie de groupe, leur façon de se mouvoir comme un seul homme et l’énergie qu’ils transmettent au public. »

Federica Pezzoli, Estense.com

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