Calendrier de la saison

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octobre 2025

novembre 2025

janvier 2026

février 2026

mars 2026

avril 2026

Midi Pile, ou le concerto du soleil

Chorégraphie Thierry Malandain
Musique Francis Poulenc
Décors et costumes Jorge Gallardo
Lumières François Menou

Créé en mai 2025 – Durée 20min
Pour 22 danseurs

« En 1998, sur le Concerto pour deux pianos et orchestre de Francis Poulenc, à la fois « moine et voyou », selon Claude Rostand, s’ouvrait François d’Assise, le tout premier spectacle présenté par le Centre Chorégraphique National à la Gare du Midi de Biarritz. Les jeux, les rêves, les désirs, tourbillon de sentiments à fleur de notes, ce Concerto qui « ne cherche pas midi à quatorze heures » disait malicieusement le compositeur, ramène aux éblouissements de l’enfance. Beau et joyeux, toujours indomptable et fort, il fera le plein de danse à la gloire du Soleil qui donne le jour et la lumière. »

Thierry Malandain

Minuit et Demi, ou le coeur mystérieux

Chorégraphie Thierry Malandain
Musique Camille Saint-Saëns
Décors et costumes Jorge Gallardo
Lumières François Menou

Créé en mai 2025 – Durée 30min
Pour 22 danseurs

« Sur la Danse Macabre, « tube » de la musique classique où l’on « entend claquer les os des danseurs », des mélodies inédites pour orchestre de Camille Saint-Saëns, Minuit et demi emprunte aux rêveries et cadences poétiques de Pierre Aguétant, Théodore de Banville, Henri Cazalis et Victor Hugo. Le coeur mystérieux est plus difficile à traduire, car si danser c’est lancer vers l’avenir son espoir obstiné, le temps présent meurt trop jeune, et l’on ne dit jamais tout ce que l’on voudrait dire « dans l’onde de la vie ».”

Thierry Malandain

Une barque sur l'océan

Chorégraphie Thierry Malandain
Musique Maurice Ravel
Décors et costumes Jorge Gallardo
Lumières François Menou

Création en septembre 2025 – Durée 10min
Pour 22 danseurs

« C’est la troisième pièce des Miroirs pour piano de Maurice Ravel, composés en 1904- 1905 et publiés en 1906. Dédié par le compositeur au peintre Paul Sordes, « Une barque sur l’océan » où les vagues ondulantes gagnent en puissance et en étendue, suggère le danger solitaire d’un navire dans l’immensité de l’océan. Cette pièce se caractérise par des arpèges fluides et aqueux de toutes formes.

Ravel nous emporte sur l’écume d’un océan qui n’a rien de placide, où l’auditeur est tiré par une vague puissante puis déséquilibré par le va-et-vient des notes qui ruissellent, pour être finalement giflé par les basses du piano, qui cognent et cognent encore. »

Thierry Malandain

Au répertoire