Calendrier de la saison

novembre 2023

  • 02 : Minneapolis (US) - Deep River
  • 29 : Esch-sur-Alzette (LU) - Deep River

décembre 2023

  • 01 : Woluwe-Saint-Lambert (BE) - Deep River
  • 02 : Woluwe-Saint-Lambert (BE) - Deep River
  • 05 : Lannion (FR) - Deep River
  • 08 : Vannes (FR) - Deep River
  • 09 : Vannes (FR) - Deep River
  • 13 : Montpellier (FR) - Deep River
  • 14 : Montpellier (FR) - Deep River
  • 19 : Monthey (CH) - Deep River
  • 21 : Winterthur (CH) - Deep River
  • 22 : Winterthur (CH) - Deep River

février 2024

  • 22 : New York (US) - Deep River
  • 23 : New York (US) - Deep River
  • 24 : New York (US) - Deep River

avril 2024

  • 26 : Santa Barbara (US) - Deep River

mai 2024

  • 16 : Washington (US) - Deep River
  • 17 : Washington (US) - Deep River
  • 18 : Washington (US) - Deep River

Deep River

Chorégraphie : Alonzo King
Musique : Jason Moran, Lisa Fischer, Pharoah Sanders, Maurice Ravel, James Weldon Johnson
Chant : Lisa Fischer
Créé en 2022
Durée : 65 min

Au cours des deux premières années de la pandémie, les artistes de LINES Ballet ont travaillé dans des bulles confinées, dans leurs studios, au parc du Golden Gate, dans une ferme, le désert de Wickenburg en Arizona et divers autres endroits, afin de continuer à construire des œuvres malgré la pandémie. Deep River est le résultat de ces trois années de travail dans des cadres insolites.
Outre les compositions de Jason Moran et la voix remarquable de Lisa Fischer, l’utilisation de la musique spirituelle des traditions africaine et juive a été choisie pour aborder le pouvoir de l’inspiration dans la difficulté, ainsi que l’espoir et la détermination face à des situations apparemment impossibles. Deep River est un appel à rester fondamentalement positif, quelles que soient les circonstances. À faire fleurir le lotus dans la boue. Et à se regarder les uns les autres comme une famille d’âmes. La pièce pointe le déséquilibre de l’intellect sans le cœur, et la nécessité de ressentir pour les autres ce que nous ressentons pour nous-mêmes. C’est une lettre d’amour à un monde qui se tord de douleur.
Sur scène, la plupart des danseurs de la compagnie sont présents, reliés entre eux par des solos et des pas de deux.

La presse en parle

« Deep River semble prendre un caractère presque évolutif, montrant la troupe à la fois en contraste et en synchronisation avec la partition de Moran […] l’interprétation gospel de Fischer et le choix de chansons […] donnent à l’œuvre une spécificité qui la rend en fait plus universelle.»

Charles Lewis III, 48 hills

« Avant la conclusion de l’œuvre par un mémorable pas de deux, les danseurs ont entraîné le public dans une angoisse presque incroyable, que ce soit en se tortillant ou en se tordant sur le sol, en faisant des embardées ou en se débattant en solo, à deux ou en petits ensembles. […] Deep River est une visualisation puissante dans laquelle King ne laisse aucun muscle ou geste inexploré dans sa vision. »

woollywesterneye

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