Calendrier de la saison
novembre 2024
- 12 : Bonn (DE) - KØTER
- 13 : Bonn (DE) - KØTER
- 15 : Copenhague (DK) - KØTER
- 16 : Copenhague (DK) - KØTER
mars 2025
- 18 : Tønder (DK) - KØTER
- 19 : Fredericia (DK) - KØTER
- 27 : Madrid (ES) - KØTER
avril 2025
- 08 : Randers (DK) - KØTER
- 10 : Holbæk (DK) - KØTER
- 23 : Ballerup (DK) - KØTER
- 24 : Næstvæd (DK) - KØTER
- 25 : Nykøbing Falster (DK) - KØTER
- 29 : Haderslev (DK) - KØTER
KØTER
Mise en scène et concept Marina Mascarell
Chorégraphie Marina Mascarell et les danseurs du Danish Dance Theatre
Musique Yamila Ríos
Décors Kristin Torp
Costumes Nina Botkay
Dramaturgie Bodil Persson
Texte Josephine Olhoff-Jakobsen et Marina Mascarell
Lumières Raphael Frisenvænge Solholm
Conception sonoreRafael Cañete Fernández
Photo Bradley Waller
Créé en 2015 pour GöteborgsOperans Danskompani – Reprise en 2024 pour Danish Dance Theatre – Durée 60min
Avec le soutien de Grete og Sigurd Pedersens Fond, William Demant Fond, Grete og Sigurd Pedersens Fond, William Demant Fonden, Københavns Kommunes Scenekunstudvalg, Dronning Margrethes og Prins Henriks Fond
KØTER présente une communauté formée d’individus dominés par la jalousie et la peur de l’inconnu. Emprisonnés dans leur solitude, ils rêvent de se libérer d’une homogénéité suffocante. Inspirée de la Loi de Jante, le code de conduite fictionnel qui règle les comportements d’une société, Marina Mascarell explore le poids la culture, les lois invisibles qui standardisent et oppressent les sociétés Scandinaves. à travers une scénographie mouvante, les artistes tentent de se libérer d’une communauté qui ne célèbre pas l’unicité mais glorifie la médiocrité.
KØTER a été créé en octobre 2015 pour GöteborgsOperans Danskompani. Elle a reçu un accueil enthousiaste de la part du public et de la critique. Marina Mascarell a revisité la chorégraphie avec les danseurs du Danish Dance Theatre pour sa reprise en 2023.
« Pour moi, les Mongrels représentent l’alter ego de l’homme. Ce sont des chiens de rue sans race spécifique. J’utilise cette métaphore pour mettre en lumière le marginal, l’étranger, le singulier, le différent et le non conventionnel au milieu de la norme. »
Marina Mascarell
La presse en parle
« S’agrippant doucement et sans effort, ils se répandent dans la salle dans un mouvement fluide, où chacun peut tournoyer, se laisser fondre sur le sol ou se livrer à un petit solo éclatant – tout en faisant partie du flux commun. Une souplesse d’adaptation qui dit tout de la cohésion, de la recherche de la sécurité et de la peur de sortir de la communauté. »
Monna Dithmer, Politiken
Au répertoire
Bloody Moon
BLOODY MOON s’inspire de l’œuvre de Georges Bataille «Eroticism» et célèbre les trois formes d’érotisme : celles du corps, du cœur et du sacré.
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